Pompal 09.
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Au-dessus des broussailles jaunies par le brûlant soleil africain, nous voyons monter et descendre la magnifique tête du mammifère qui se nourrit. Il est immense, plus lourd et plus long que le véhicule qui nous a amené ici. Nous n’apercevons que les deux cornes qui ornent son nez et sa tête de bossu. Il broute l’herbe sans se soucier des dangers omniprésents qui le menacent continuellement. Ce roi de l’Afrique australe ignore que nous prenons des risques aujourd’hui afin de le protéger.
Nous nous sommes installés face au vent dans cette clairière ou il vient régulièrement se repaitre. Le rhinocéros blanc, qui est en fait gris, a une vue faible, mais un odorat et une audition parfaite. C’est pourquoi nous communiquons entre nous par signe préétablis. Un code de brousse que nous avons imaginé. S’il nous sent ou nous entend, il pourrait nous charger à une vitesse de plus de 45 kilomètres/heure pour nous harponner avec ses défenses et nous projeter au loin comme de vulgaires fétus de paille.
Des scientifiques ont réussi depuis vingt ans à stabiliser leur nombre. Au début des années quatre-vingt, ils étaient presque disparus de la surface de la Terre. Maintenant, nous avons réussi à en conserver environ huit cents. Des hommes sans scrupules, croyant à tort aux vertus aphrodisiaques des cornes, les ont abattus lâchement. De leurs corps morts, ils ont prélevé uniquement les cornes et abandonné la carcasse de 3000 kilogrammes aux animaux de proie.
Aujourd’hui, nous devons récupérer ce mâle solitaire qui a dépassé les limites protégées et le ramener à un endroit sécuritaire. Avant bien sûr que les braconniers ne le repèrent. La bête, ignorant la menace, ne se laissera pas attraper. C’est pourquoi, nous attendons maintenant avec nos fusils armés de projectiles anesthésiques, le moment propice pour endormir le remarquable quadrupède.
Une collègue nous lance le signal tant attendu. L’animal est dans une position parfaite pour le tir. Mon compagnon et moi visons la partie plus tendre de la bête, soit sous l’abdomen. Nos coups de feu partent presque en même temps, partiellement couverts par le bruit du vent dans les broussailles. L’animal est légèrement surpris, comme si une branche épaisse lui avait labouré les flancs. Il regarde béatement autour de lui puis reprend nonchalamment son repas. L’anesthésiant doublé fait rapidement son effet. Il commence à vaciller un peu, puis les jambes deviennent tremblantes, il décide de s’assoir sur ses pattes arrières puis sur celles de devant. Il a un regard vitreux et inquiet, l’instinct de survie lui disant qu’il est en danger. Puis il repose sa magnifique tête au sol et il ferme les yeux. Une partie du travail est accompli. Nous devons attendre encore plusieurs minutes, puis nous le hisserons dans un camion et le transporterons au loin en sûreté.
Ce temps d’attente me permet de rêver, le péril est écarté pour l’instant. Fait inusité, le rhinocéros n’a pas de scrotum car ses testicules sont à l’intérieur de son corps. Nous les hommes avons tous la même réaction lorsque nous apprenons cette particularité. Nous aimerions être comme cette bête car nous aurions évité bien des sensations douloureuses par le passé, surtout lors de compétitions sportives.
Par contre, une réflexion plus avancée me permet de me souvenir que je n’aurais pas connu autant de bonheur lors de ma dernière rencontre avec une belle femme. Le fait de se faire caresser cette partie intime par une femme apporte beaucoup de plaisir et de bonheur au mâle, à tout le moins dans mon cas. Cette pensée me ramène à elle....
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Les astres sont de nouveaux alignés. Exceptionnellement, Alycia est disponible ce matin chez Tandem. J’avais conservé de très beaux souvenirs de cette femme exquise aux temps du Moulin Rouge. Depuis, nos horaires ne voulaient plus se confondre. Aujourd’hui, c’est enfin le cas.
Après ma douche, des bruits de talons se rapprochent. J’espère que c’est elle. Le bouton de porte tourne sur lui-même, la porte s’ouvre, la belle et coquine Alycia fait son entrée. Même si la pièce est tamisée, d’un seul regard et de son sourire magique, sa lumière éclaire la pièce. Elle ne se souvient pas de moi, je peux comprendre, cela fait quelque temps.
Après plusieurs battements d’ailes des anges, nous sommes nus sur le matelas au sol. Ses mains caressantes sont douces, voluptueuses, libidineuses. Je lui propose alors le même scénario qu’elle m’avait offert lors de notre première rencontre et que j’avais dû refuser faute de capacité. Cette fois-ci, je suis mieux préparé. Elle accepte avec son petit sourire moqueur en voulant dire : ‘C’est correct pour moi, mais toi, en seras-tu capable?’
Nos petits jeux commencent et se poursuivent tout au long de la séance d’une heure.
Oh Alycia! Princesse de bonheur. Qu’il est vrai que ton petit postérieur est un des plus beaux sur eforum.xxx. Que tes jambes sont harmonieuses, que ta peau est douce, que ton regard est bon, que ton cou est suave. Pour les fétichistes des mains, vous serez comblés. Je crois qu’elle possède les plus belles mains que j’ai vues.
Oh Alycia! Princesse de l’extase. Ta bonté à faire plaisir, ta générosité, ton amabilité, ta joie de vivre sont contagieuses. Toutes ces qualités impressionnantes amalgamées à la beauté de ton corps apporteraient l’exaltation au plus blasé et abattu des hommes. Pour moi, deux grands moments d’extase.
Alycia n’a jamais calculé son temps. Ce fut plutôt moi qui à un moment donné ai regardé l’horloge car l’heure allait être dépassée. ہ la sortie de la douche, elle s’est habillée et je lui ai donné un bon pourboire. Elle le méritait bien. Je l’ai serré tendrement dans mes bras en souhaitant que ce moment dure éternellement, puis je lui ai baisé les deux joues. De nouveau elle s’abandonnait et nos corps se lovaient. Puis, elle est disparue dans le long corridor étroit de la sortie me laissant seul et désemparé avec mon bonheur.
Merci belle Alycia. Tu as su me faire sentir comme un ….Amant Romantique.
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Un cri humain strident puis un chant africain brisent le silence. Mon esprit est de retour sous le chaud soleil du Botswana. Nos guides noirs ont entonné le chant de la victoire car la bête est complètement inerte désormais, incapable de la moindre agressivité. Il est temps de nous lever et de continuer à accomplir notre travail. Dans quelques heures, elle sera de retour dans son habitat plus hospitalier.
Encore trois longues journées et je serai de retour à Pretoria. De magnifiques femmes noires et blanches y vivent. L’amour pour elles est aussi naturel que de s’abreuver. Les seins nus, elles se trémoussent devant nous pour nous émoustiller. Ces corps aux formes diaboliques, créés pour l’amour, se dandinent au gré des rayons lumineux et du vent chaud du continent. Ces corps sculpturaux passeront et repasseront à deux pas de mes dix doigts. Comment ne pas succomber, comment résister à de tels bonheurs?
Encore une fois, je me laisserai séduire, je m’abandonnerai aux corps doux et féminins, aux caresses langoureuses et languissantes, aux baisers prolongés, aux plaisirs charnels dans une habitation protégée de la chaleur torride, par un bel après-midi africain.
Amant Romantique
Femmes de rêve, je vous aime.
Nous nous sommes installés face au vent dans cette clairière ou il vient régulièrement se repaitre. Le rhinocéros blanc, qui est en fait gris, a une vue faible, mais un odorat et une audition parfaite. C’est pourquoi nous communiquons entre nous par signe préétablis. Un code de brousse que nous avons imaginé. S’il nous sent ou nous entend, il pourrait nous charger à une vitesse de plus de 45 kilomètres/heure pour nous harponner avec ses défenses et nous projeter au loin comme de vulgaires fétus de paille.
Des scientifiques ont réussi depuis vingt ans à stabiliser leur nombre. Au début des années quatre-vingt, ils étaient presque disparus de la surface de la Terre. Maintenant, nous avons réussi à en conserver environ huit cents. Des hommes sans scrupules, croyant à tort aux vertus aphrodisiaques des cornes, les ont abattus lâchement. De leurs corps morts, ils ont prélevé uniquement les cornes et abandonné la carcasse de 3000 kilogrammes aux animaux de proie.
Aujourd’hui, nous devons récupérer ce mâle solitaire qui a dépassé les limites protégées et le ramener à un endroit sécuritaire. Avant bien sûr que les braconniers ne le repèrent. La bête, ignorant la menace, ne se laissera pas attraper. C’est pourquoi, nous attendons maintenant avec nos fusils armés de projectiles anesthésiques, le moment propice pour endormir le remarquable quadrupède.
Une collègue nous lance le signal tant attendu. L’animal est dans une position parfaite pour le tir. Mon compagnon et moi visons la partie plus tendre de la bête, soit sous l’abdomen. Nos coups de feu partent presque en même temps, partiellement couverts par le bruit du vent dans les broussailles. L’animal est légèrement surpris, comme si une branche épaisse lui avait labouré les flancs. Il regarde béatement autour de lui puis reprend nonchalamment son repas. L’anesthésiant doublé fait rapidement son effet. Il commence à vaciller un peu, puis les jambes deviennent tremblantes, il décide de s’assoir sur ses pattes arrières puis sur celles de devant. Il a un regard vitreux et inquiet, l’instinct de survie lui disant qu’il est en danger. Puis il repose sa magnifique tête au sol et il ferme les yeux. Une partie du travail est accompli. Nous devons attendre encore plusieurs minutes, puis nous le hisserons dans un camion et le transporterons au loin en sûreté.
Ce temps d’attente me permet de rêver, le péril est écarté pour l’instant. Fait inusité, le rhinocéros n’a pas de scrotum car ses testicules sont à l’intérieur de son corps. Nous les hommes avons tous la même réaction lorsque nous apprenons cette particularité. Nous aimerions être comme cette bête car nous aurions évité bien des sensations douloureuses par le passé, surtout lors de compétitions sportives.
Par contre, une réflexion plus avancée me permet de me souvenir que je n’aurais pas connu autant de bonheur lors de ma dernière rencontre avec une belle femme. Le fait de se faire caresser cette partie intime par une femme apporte beaucoup de plaisir et de bonheur au mâle, à tout le moins dans mon cas. Cette pensée me ramène à elle....
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Les astres sont de nouveaux alignés. Exceptionnellement, Alycia est disponible ce matin chez Tandem. J’avais conservé de très beaux souvenirs de cette femme exquise aux temps du Moulin Rouge. Depuis, nos horaires ne voulaient plus se confondre. Aujourd’hui, c’est enfin le cas.
Après ma douche, des bruits de talons se rapprochent. J’espère que c’est elle. Le bouton de porte tourne sur lui-même, la porte s’ouvre, la belle et coquine Alycia fait son entrée. Même si la pièce est tamisée, d’un seul regard et de son sourire magique, sa lumière éclaire la pièce. Elle ne se souvient pas de moi, je peux comprendre, cela fait quelque temps.
Après plusieurs battements d’ailes des anges, nous sommes nus sur le matelas au sol. Ses mains caressantes sont douces, voluptueuses, libidineuses. Je lui propose alors le même scénario qu’elle m’avait offert lors de notre première rencontre et que j’avais dû refuser faute de capacité. Cette fois-ci, je suis mieux préparé. Elle accepte avec son petit sourire moqueur en voulant dire : ‘C’est correct pour moi, mais toi, en seras-tu capable?’
Nos petits jeux commencent et se poursuivent tout au long de la séance d’une heure.
Oh Alycia! Princesse de bonheur. Qu’il est vrai que ton petit postérieur est un des plus beaux sur eforum.xxx. Que tes jambes sont harmonieuses, que ta peau est douce, que ton regard est bon, que ton cou est suave. Pour les fétichistes des mains, vous serez comblés. Je crois qu’elle possède les plus belles mains que j’ai vues.
Oh Alycia! Princesse de l’extase. Ta bonté à faire plaisir, ta générosité, ton amabilité, ta joie de vivre sont contagieuses. Toutes ces qualités impressionnantes amalgamées à la beauté de ton corps apporteraient l’exaltation au plus blasé et abattu des hommes. Pour moi, deux grands moments d’extase.
Alycia n’a jamais calculé son temps. Ce fut plutôt moi qui à un moment donné ai regardé l’horloge car l’heure allait être dépassée. ہ la sortie de la douche, elle s’est habillée et je lui ai donné un bon pourboire. Elle le méritait bien. Je l’ai serré tendrement dans mes bras en souhaitant que ce moment dure éternellement, puis je lui ai baisé les deux joues. De nouveau elle s’abandonnait et nos corps se lovaient. Puis, elle est disparue dans le long corridor étroit de la sortie me laissant seul et désemparé avec mon bonheur.
Merci belle Alycia. Tu as su me faire sentir comme un ….Amant Romantique.
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Un cri humain strident puis un chant africain brisent le silence. Mon esprit est de retour sous le chaud soleil du Botswana. Nos guides noirs ont entonné le chant de la victoire car la bête est complètement inerte désormais, incapable de la moindre agressivité. Il est temps de nous lever et de continuer à accomplir notre travail. Dans quelques heures, elle sera de retour dans son habitat plus hospitalier.
Encore trois longues journées et je serai de retour à Pretoria. De magnifiques femmes noires et blanches y vivent. L’amour pour elles est aussi naturel que de s’abreuver. Les seins nus, elles se trémoussent devant nous pour nous émoustiller. Ces corps aux formes diaboliques, créés pour l’amour, se dandinent au gré des rayons lumineux et du vent chaud du continent. Ces corps sculpturaux passeront et repasseront à deux pas de mes dix doigts. Comment ne pas succomber, comment résister à de tels bonheurs?
Encore une fois, je me laisserai séduire, je m’abandonnerai aux corps doux et féminins, aux caresses langoureuses et languissantes, aux baisers prolongés, aux plaisirs charnels dans une habitation protégée de la chaleur torride, par un bel après-midi africain.
Amant Romantique
Femmes de rêve, je vous aime.